QRT Graphique prend une longueur d’avance dans l’impression d’étiquettes adhésives avec la N610i

  • Par Infos Domino
  • juillet 29, 2014
  • Digital Printing
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Depuis sa création en 1977, les nouvelles technologies et la recherche des meilleurs procédés d’impression ont été au cœur de la stratégie de développement de QRT Graphique. Concentrée sur l’impression de consommables médicaux, encéphalogrammes et cardiogrammes, en 1985, elle devient la première en France à investir le marché de la transformation de papier thermique pour les télécopieurs, avant de se lancer sur celui de l’étiquette adhésive dans les années 1990. Depuis, l’imprimerie est devenue l’un des acteurs majeurs de ce segment, en multipliant les investissements et en développant un savoir-faire reconnu dans tout l’hexagone.

Chaque année, plusieurs dizaines de millions d’étiquettes sont imprimées sur les machines de QRT Graphique, dont le site de 10 000 m2 se situe à Saint-Martin-de-Valgalgues dans la banlieue d’Alès (30). Depuis 5 ans, l’entreprise affiche une croissance à deux chiffres, reposant sur la qualité de ses produits et sa capacité à innover pour être toujours en mesure de répondre aux exigences de ses clients.

Avec son portefeuille de donneurs d’ordres travaillant dans l’agroalimentaire, l’industrie, la chimie ou la cosmétique, chacun d’entre nous a forcément eu entre les mains, sans le savoir, une étiquette tout droit sortie de l’atelier gardois. Étiquette de bouteille de vin, de flacon de shampoing, de produit chimique ou de produit alimentaire, les débouchés sont nombreux et les applications variées. Et dans tous ces domaines, la qualité représente un élément déterminant dans le choix de son imprimeur.

Côté production, le parc machines, composé d’une douzaine de lignes, rassemble divers modes d’impression traditionnels, flexo, typo, offset et sérigraphie. Mais les dirigeants de l’imprimerie suivaient de près l’évolution du numérique comme relais de croissance potentiel. Principalement pour imprimer de petites séries. . « Nous suivions depuis plusieurs années l’évolution des presses numériques, et en particulier celles de Domino, pour trouver celle qui répondrait parfaitement à nos exigences de production en termes de productivité. Et début 2013, nous sommes allés voir la N610i dans leur centre de démonstration de Cambridge en Angleterre. Nous avons fait des tests d’impression sur différentes matières. Et les résultats ont été concluants, tant sur le plan de la qualité d’impression que de la rapidité d’exécution », se souvient Christophe Quirantès.

Un comparatif avec les machines de la concurrence l’a ensuite conforté dans son choix. . « Avec la technologie innovante développée par Domino, nous savions que nous pourrions aller vers des séries plus importantes qu’avec les presses numériques standards proposées par les autres constructeurs », estime le professionnel.

Quelques mois plus tard, la presse numérique N610i, 4 couleurs + blanc, la première en France, était installée.

« Le choix du blanc a été motivé par la volonté de pouvoir utiliser un blanc de soutien lors de l’impression sur des supports synthétiques transparents ou sur des papiers or et argent, explique l’entrepreneur, Nous obtenons une bonne opacité, cela fait ressortir les couleurs et offre un bel aspect à l’étiquette ».

Si auparavant on ne parlait que de petites séries de 50 à 10 000 étiquettes lorsque l’on évoquait le numérique, désormais, il est possible de monter jusqu’à des séries de plusieurs milliers d’exemplaires. « Avec la technologie jet d’encre piézo, on envisage maintenant de remplacer les typos rotatives, car notre presse Domino est aussi efficace sur les moyennes séries. En production, nous avons déjà imprimé une série de 400 000 étiquettes », poursuit l’entrepreneur. Pour son secteur d’activité, la technologie jet d’encre piézo de Domino représente définitivement l’avenir assure-t-il. De plus, l’imprimerie QRT peut compter sur le service et les conseils des spécialistes de Domino pour garantir le bon fonctionnement de sa presse numérique et développer de nouveaux produits pour ses clients.

D’autant qu’avec le numérique les étapes de fabrication des films, puis des plaques, leur installation sur la rotative et enfin la recherche de couleurs ont disparu, ce qui se traduit par des délais de production substantiellement réduits. Sans compter qu’il est donc plus facile de passer d’un job à un autre sans perte de temps. Il suffit simplement d’envoyer les fichiers sur la presse pour démarrer l’impression.

Ce que résume Christophe Quirantès : « Avec la presse numérique de Domino, les étiquettes sont déjà imprimées, alors qu’en typo on finirait à peine le calage. » Résultat, combinée avec la productivité de la N610i, qui atteint les 50 m/mn en haute définition, l’impression numérique s’avère imbattable sur le terrain de la rapidité d’exécution. Sans compter les économies réalisées sur la gâche lors du calage en flexo. « Et comme il s’agit d’une vitesse constante, il est plus facile d’organiser notre planning de production et d’anticiper », souligne le dirigeant dont l’imprimerie transforme quelque 20 millions de m2 d’étiquettes adhésives par an.

Grâce à ce premier investissement dans le numérique, QRT Graphique est en mesure de se positionner sur de nouveaux marchés. Par exemple, sur celui des étiquettes multi-références en moyenne série. Comme par exemple le cas d’une même étiquette, mais avec différents visuels, ou des étiquettes comportant chacune un code-barres ou des Datamatrix différents. Ce qui n’était pas envisageable auparavant avec l’impression flexo où la variabilité est impossible.

Mais Christophe Quirantès dévoile un autre atout plus inattendu de la N610i « Nous avons pu séduire une nouvelle clientèle car les encres UV ont un aspect sérigraphique. Elles donnent l’impression d’une surépaisseur lorsque l’on passe le doigt dessus, tout en offrant une résistance accrue aux frottements par rapport à l’impression traditionnelle. Et, il y a des secteurs d’activité pour lesquels c’est important, notamment lors du transport des produits dans des cartons pour que les étiquettes ne soient pas abîmées à l’arrivée par exemple. »

L’introduction du numérique dans l’atelier a même conduit à modifier la politique commerciale. Désormais, lorsque les commerciaux rendent visite à un prospect, ils ne s’attardent pas à vanter en détail les qualités de la nouvelle presse. Ils demandent un fichier test et, en 48 h, le futur client reçoit un exemplaire imprimé de son étiquette. « Il est certain qu’avec cette technologie, nous bénéficions d’une meilleur écoute auprès de nos prospects, car ils peuvent avoir leur produit entre les mains très rapidement, assure Christophe Quirantès. Et puis nous apportons quelque de chose de nouveau, sur le marché, et avec près de 300 fabricants d’étiquettes sur toute la France, il faut se différencier ».

Après une première opération de croissance externe menée en 2011, qui s’est traduite par le rachat d’une imprimerie dans le Nord de Paris et l’établissement d’un bureau commercial, les dirigeants de QRT Graphique s’apprêtent à en conduire une seconde, toujours en région parisienne. L’investissement dans la N610i de Domino donne donc, de par ses gains de productivité et sa qualité d’impression, les coudées franches à l’imprimerie pour remporter de nouveaux marchés dans toute la France et s’imposer face à la concurrence.

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